Mes déboires avec Astrapi
Ou comment un petit incident, normalement mineur, prend des proportions incroyables !
Clémence a 12 ans en juin et a décidé qu'elle ne pouvait plus être abonnée à Astrapi puisqu'il s'agit d'un magazine pour les 7-11 ans. J'ai essayé de la convaincre de prolonger son abonnement d'une année supplémentaire mais elle n'a rien voulu savoir, ou plutôt elle se fâche instantanément puisqu'il est inconcevable de lire le magazine au delà de 11 ans !
Son abonnement s'est terminé mi-mars,. Mais voilà, Clémence était terriblement déçue de ne pas le recevoir jusqu'au jour de ses 12 ans (en juin !).
Tant pis, je décide, pour les quelques numéros avant son anniversaire de les acheter en librairie. Mais pas moyen de le trouver près de chez moi. Je décide donc de le commander sur le net, même si ça revient assez cher avec les frais de port.
Vous devez penser que tout cela n'est pas bien grave, mais voilà, malgré ma commande sur le net, nous n'avons pas reçu l'album 748 du 15 avril. J'ai relancé plusieurs fois le service client et à chaque fois on m'a assuré qu'il partait le jour-même.
Chaque jour, j'ai vu ma petite Clémence aller chercher le courrier pleine d'espoir. Je l'ai consolé chaque matin en l'assurant qu'elle le recevrait bientôt.
Finalement, les jours ont passé et il était temps d'acheter le numéro suivant qui est sorti le 1er mai.
Clémence refuse de le lire puisque la chaîne a été rompue.
J'ai à nouveau contacté le service client, mais désormais ils ne me répondent plus... Je dois les enquiquiner !!! Mais bon, quid de mon paiement ???
Finalement, je cherche sur le net où commander le numéro 748 et aucune librairie en ligne ne le propose, ils sont déjà passés au suivant (mais pourquoi Clémence ne peut pas faire comme eux ?).
Aujourd'hui, dernier rebondissement, j'ai commandé le 748 sur le site de Bayard Presse qui m'assure d'une livraison sous 10 jours. Encore 10 jours à consoler Clémence après chaque passage du facteur tout en croisant les doigts pour qu'il n'y ait aucun souci.
N'importe quel enfant aurait été déçu et n'y aurait plus pensé. Mais ce n'est pas le cas de Clémence qui est incosolable...
La recherche de ce fameux numéro d'Astrapi devient donc l'affaire du siècle à la maison et le mot "astrapi" me file de l'urticaire !!